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vendredi 15 août 2014

La Dépêche du Midi - Inondations : les travaux ont commencé

Sur la Garonne et sur la Pique, les chantiers ont démarré ou sont sur le point de l'être./Photo DDM.
Sur la Garonne et sur la Pique, les chantiers ont démarré ou sont sur le point de l'être./Photo DDM.



«C'est après de longues négociations que la Communauté de communes en est là aujourd'hui» lançait Joël Gros, président de la communauté du canton de Saint-Béat, lors de la visite à Marignac le 28 juillet en présence du président Pierre Izard et ses services du Conseil général.
De tous les sujets évoqués, il y eut en effet celui des inondations. L'occasion pour Joël Gros de rappeler les deux axes principaux de ce lourd dossier, la Pique et la Garonne, dont la problématique jusqu'alors pour lancer des travaux était le financement. «Le problème est résolu. L'État a revu sa copie. Avec le cofinancement de la Région (15 %), nous arrivons à 95 % de subventions pour les travaux sur la Garonne, sur un montant de 1,5 million d'euros.
...
(Lire la suite de l'article sur la site de LaDépêche.fr)

mercredi 9 juillet 2014

17 juin 2014 : Quand le préfet nous mène en bateau ... sur l'eau (de la Garonne)

C'est quand même intéressant de revenir sur les propos du préfet Comet avant qu'il ne fasse ses valises pour Nantes. Au passage, question terres inondables, qu'il se méfie ; autour de Nantes, ce n'est pas bien mieux qu'ici. Il paraît même que certains auraient la prétention d'essayer d'y assécher des zones humides pour y construire des aéroports ... Notre préfet-écolo va avoir du boulot.

Au Collectif, on n'a pas vraiment aimé quand le préfet s'est moqué des amis espagnols qui font n'importe quoi dans leur Garonne alors que nous, les gentils Français, on est bien plus intelligents et respectueux de la nature. A priori, on n'est pas certains qu'ils apprécient également d'être pris pour des imbéciles. Sauf que eux, ils ont bossé, ça c'est sûr !

 (Au passage, regardez bien derrière lui, l'arrosage automatique qui fonctionne à plein tube.
Eh bien, chez nous, c'est pareil. Sauf que c'est la Garonne qui arrose directement l'intérieur de nos maisons.)

Après, ça vaut le coup aussi de se pencher sur les chiffres et les actions de terrain réelles, de peser et comparer :
- ce qui a été mis en Espagne
- ce qui a été mis dans les Hautes-Pyrénées
- et chez nous ? ...  ce qui sera fait un jour ...
etc ... etc ...

Vu comment les vannes du barrage du Plan d'Arem ont été ouvertes fin mai / début juin et l'ont miraculeusement nettoyé ... on peut s'attendre au pire ! Chez nous, nombreux sont ceux qui pensent qu'on n'est pas près de voir une pelleteuse dans la Garonne ! On ouvre les paris ?

Ci-dessous, vous trouverez un rappel des propos du préfet tenus à France 3 lors de sa conférence de presse du 17 juin dernier, puis le texte du dossier de presse remis à cette occasion. Et bla bla bla ... et bla bla bla ...
http://www.haute-garonne.gouv.fr/content/download/10806/77728/file/20140617_%20les_inondations_du_18_juin_2013_un_an_apres.pdf

La DREAL a rendu sa copie

Rapport DREAL crue du 18 au 20 juin 2013

Le Moniteur : Coopération renforcée avec l’Espagne après les inondations dans les Pyrénées

Travaux routiers réalisés par le conseil général des Hautes-Pyrénées cet hiver.
© CG 65 - Travaux routiers réalisés par le conseil général des Hautes-Pyrénées cet hiver.
Un an après les inondations qui ont frappé le sud de la Haute-Garonne et les Hautes-Pyrénées, Henri-Michel Comet, préfet de région Midi-Pyrénées et du département de la Haute-Garonne a fait un bilan des réparations engagées. Plus de 9 millions d’euros ont été mobilisés par l’Etat et l’Agence de l’eau Adour-Garonne.

Quelques heures avant son départ pour les Pays de la Loire où il est nommé préfet de région, Henri-Michel Comet, préfet de région Midi-Pyrénées et du département de la Haute-Garonne, a voulu faire, le 17 juin, un point sur l’action de l’Etat menée pour réparer les dégâts provoqués par les inondations qui ont touché, un an plus tôt, le sud de la Haute-Garonne et les Hautes-Pyrénées.
Compte-tenu de compétences en sécurité réservées au préfet de département, Henri-Michel Comet ne s’est exprimé que pour la Haute-Garonne, touchée dans sa partie sud par des inondations d’une ampleur exceptionnelle de l’ordre de la crue centenale.
(Lire la suite de l'article sur le site du Moniteur.)

La Dépêche du Midi - L'état de la Garonne inquiète


Les arbres dans la Garonne risquent de venir endommager les ouvrages./
Les arbres dans la Garonne risquent de venir endommager les ouvrages./

Le maire de Fos Francis Dejuan, qui surveille le lit de la Garonne tous les jours, se dit très inquiet. «Les atterrissements, qui représentent une accumulation de sable et gravier et sont très nombreux au Plan d'Arem à la sortie de Fos, ont modifié le lit initial de la Garonne.
(Lire la suite de l'article sur le site de LaDépêche.fr.)

mercredi 25 juin 2014

Le Petit Journal - Plan d'Arem : un an après

Le Petit Journal | Générale | Plan d'Arem : un an après
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Le barrage de Plan d'Arem aurait dû être curé en 2011 et ne l'avait pas été car des solutions pour le stockage des boues n'avaient pas été trouvées. Comme souvent en France l'on a le sentiment qu’il faut qu'une catastrophe se produise pour que l'on trouve d'un seul coup la solution.
Immédiatement après l'inondation il a été clair aux yeux des habitants de Saint-Béat notamment que le barrage rempli de sédiment - au point qu'une île s'y était formée - avait sa part de responsabilité dans l'ampleur des inondations.
Une semaine après les inondations lors de la réunion du Conseil Régional en Assemblée plénière, le Conseiller ...
(Lire la suite de l'article sur la site du Petit Journal)

mardi 24 juin 2014

Vaut-il mieux demander notre rattachement au Val d'Aran ... ou aux Hautes-Pyrénées ?

Mise à jour le 24 juin avec un second reportage sur le même sujet (ci-dessous)
Suggestion pour que les travaux commencent chez nous : kidnapper le président du Conseil Général des Hautes-Pyrénées et l'obliger à travailler pour nous. Il paraît qu'il doit bientôt venir vers Izaourt. C'est l'occase ?!


Où l'on découvre avec étonnement comment le président du Conseil Général et le préfet des Hautes-Pyrénées ont su protéger Barèges du Bastan en s'autorisant des moyens que leurs homologues haut-garonnais nous interdisent.

samedi 21 juin 2014

Spéciale un an après - France 3 - La voix est libre

L'émission "La voix est libre" de France 3 Midi-Pyrénées était consacrée aujourd'hui à la situation actuelle des vallées pyrénéennes sinistrées à l'occasion des inondations du 18 juin 2013.
Débat animé par Patrick Noviello  et Laurent Dubois
Invités sur le plateau :
- Carole Delga (PS), députée du Comminges et donc de Saint-Béat au moment des évènements, aujourd'hui secrétaire d'état au commerce, à l'artisanat et à la consommation
- Michel Pélieu (PRG), président du Conseil Général des Hautes-Pyrénées
- Michel Azot, président du Centre Pyrénéen des Risques Majeurs (présenté comme la caution scientifique, mais il s'agit également d'un politique supplémentaire car élu UDI à Lourdes sur la Liste Union de la Droite)

mercredi 18 juin 2014

Quand le ministère de l'écologie nous enfume

Ministère de l'écologie
Le 20 janvier, le collectif avait interpelé Philippe Martin, précédent ministre de l'écologie.
Vue la spécificité de notre problématique, c'est Patricia Blanc, directrice générale de la prévention des risques qui nous répond. Le 15 juin, nous recevions donc son courrier (daté pourtant du 19 mai ... Ah ! le service public ... avec la crise ...).
Nous nous sommes précipités sur cette lettre tant espérée. Bof !
Soucieux du partage de l'information, nous vous invitons à la feuilleter en cliquant sur sa vignette ci-contre. Comme nous, prenez plaisir à vous délecter de ce vocabulaire, de ces promesses ... de cet enfumage diront même certains esprits chagrins !
On pourrait laisser tomber ; apparemment, il n'y a pas grand chose à attendre de certains technocrates. Mais bon ! On a quand même décidé de répondre, au moins pour le symbole. et aussi pour ne pas avoir l'impression de se laisser traiter (comme disent les djeun's).
Ci-dessous donc, notre réponse à la dame.

mardi 17 juin 2014

Le 12 13 - France 3 Midi-Pyrénées - Saint-Béat, un an après la crue du 18 juin 2013

Un an après la crue du 18 juin 2013...
Le préfet assure qu'il lui semble que le dispositif public de soutien est considérable...
Cela dit, un an après, à St-Béat, l'une des communes les plus sinistrées, le compte n'y est toujours pas. Pour la majorité des sinistrés, un fort sentiment d'abandon prédomine toujours chez eux.


Au JT du 19 20, le 1er reportage, celui sur la conférence de presse du préfet, est bien plus complet.

MétroNews - Saint Béat : un an après les inondations l'inquiétude reste palpable

INONDATIONS – Douze mois après les crues des 18 et 19 juin 2013, les habitants de la vallée de la Garonne entre Saint Béat et Fos sont toujours inquiets. Si les longs travaux de reconstruction des maisons et commerces est entamé, l'aménagement de la Garonne suscite toujours autant d'inquiétude.

camping
Louis Bron, propriétaire du camping Thei Garonnette, montre le système d'alerte installé près de son terrain qui a prévenu la crue de juin 2013. Photo : Ph.F/metronews
Un an après les inondations de juin 2013 Saint Béat panse encore ses plaies. Alors qu'ils s'apprêtent à manifester mercredi matin dans le village, les habitants de la vallée de la Garonne sont en colère.
" En un an rien n'a bougé, on a le sentiment d'être abandonnés", résume Alain Frisoni, le nouveau maire de la commune. L'ancien mineur lorrain qui a contribué à la création de l'association "Sauvons Saint Béat" après les crues de juin 2013 dresse un constat amer. "Il a fallu se battre pour être indemnisés et de son côté l'Etat refuse de mettre la main à la poche".
Pas d'aménagement de la Garonne
Car l'absence de travaux conséquents pour aménager la Garonne inquiète les habitants de la vallée. D'autant qu'en amont du côté espagnol, d'importants chantiers de canalisation du fleuve ont été menés. "S'il y a de nouveaux orages en Espagne c'est nous qui allons trinquer", pronostique l'élu. ...
(Lire la suite de l'article sur le site de MetroNews)

lundi 16 juin 2014

Le collectif écrit aux maires de la vallée de la Garonne

Canton de Saint Béat                         Chaum, le 11 Juin 2014
Lettre aux maires de la vallée de la Garonne                                             


Madame, Monsieur le Maire,

Le collectif « SORTIR DE L’EAU » qui s’est créé après les inondations de juin 2013 s’est donné pour objectif la sécurisation de la Garonne.

Ces travaux de sécurisation sont indispensables car sans eux rien n’est possible ; ils conditionnent l’avenir économique de l’ensemble du canton ; pour certains villages, directement menacés, ils doivent permettre d’éviter la double peine : le désert économique et l’inondation qui ne manquera pas de se reproduire, plus dangereuse encore.

Depuis des mois nous tentons de sensibiliser l’administration et nos élus à ce chantier prioritaire.

Constatant l’inaction des uns et des autres, notre collectif a décidé de manifester l’exaspération de la population en perturbant la circulation automobile sur la route d’Espagne, à Saint-Béat, le 18 juin 2014.

Cette manifestation a pour but de défendre tous les villages du canton ; c’est pourquoi nous insistons pour que vous y participiez activement.

Comptant sur votre présence le 18 juin 2014 à Saint-Béat , veuillez agréer, Madame, Monsieur le Maire, l’expression de nos sentiments distingués.

Diari de Girona - La Val d´Aran creu que no s´han corregit ´els punts negres´ de la riuada del 2013

Dans le Diari de Girona d'aujourd'hui, Carlos Barrera, syndic du Val d'Aran, annonce que 40 millions d'euros ont déjà été investis dans la vallée au titre des travaux d'urgence. Pour lui, il en reste autant à investir pour retrouver une situation équivalente à la veille des inondations.
Côté français, on est plus raisonnables avant d'avancer des chiffres. On attend de voir ...

Ci-dessous, Gemma et Eugenio Llobet, de Fos, vous proposent la traduction intégrale de l'article.
Si vous préférez l'original (en catalan), cliquez sur le logo du Diari de Girona.

Le Val d'Aran croit que les «points noirs» de la crue de 2013 n'ont pas été corrigés 
16.06.2014 | 07:13 
VIELHA E MIJARAN : Un an après les inondations du 18 juin, dans le Val d'Aran, on respire normalement, malgré l'absence de travail de "responsabilité".  C'est ce qu'assure le syndic d'Aran, Carlos Barrera, qui confirme que ces interventions sont celles qui ont à voir avec la correction des "points noirs" comme la défense ou la définition du tracé du lit de la rivière. L'investissement qui a été réalisé dépasse 40 millions d'euros et s'est concentré principalement sur les travaux "d'urgence et d'exigence sociale". En ce sens, Barrera estime que pour revenir la situation de la veille des inondations, il faudrait 40 millions de plus. Certains Aranais ont encore peur quand ils entendent "bramer" la rivière mais, où ils ont fait des travaux, la sécurité est plus élevée qu'avant les inondations.
Ainsi donc, l'un des principaux travaux d'urgence qui ont été faits a été la reprise de plusieurs sections de la N-230, ce qui relève du ministère des Travaux Publics, qui a fait un investissement de 24 millions d'euros. Le ministère du Territoire et de Sostenibiltiat a alloué 5 millions d'euros pour le C-28, la route du Port Bonaïgua qui le relie avec le Pallars Sobirà. En outre, la Confédération Hydrographique de l'Ebre a dû allouer 4,3 millions d'euros à la défense des rivières.

Diari de Girona

dimanche 15 juin 2014

Le nouveau sous-préfet de Saint-Gaudens a rencontré le collectif "Sortir de l'eau"

Le nouveau sous-préfet de St-Gaudens souhaite forger sa propre opinion de l'évolution de la situation actuelle, un an après les inondations. C'est ainsi qu'il a reçu, mercredi après-midi, différents acteurs locaux (élus de Fos, de Saint-Béat, la Communauté de Communes et trois représentants du collectif).
Vendredi soir, à la salle des fêtes de St-Béat, ceux-ci nous ont fait le compte-rendu commenté de cette rencontre.
Pour ceux qui n'étaient pas présents, le voici ci-dessous, rédigé par Philippe Prax.

Nous attendons toujours les stations de prévisions de crues performantes promises !

Nous attendons toujours les stations d’alertes de crues performantes promises !
Pour le moment, les habitants de la Haute Vallée de La Garonne doivent se contenter d’une belle page blanche sur le site d’annonces de crues « Vigicrue ».



Heureusement que nos voisins espagnols du Val d’Aran sont plus réactifs !

Pour consulter les débits de la Garonne à Bossost, veuillez suivre le lien suivant

http://195.55.247.237/saihebro/index.php?url=/datos/ficha/estacion:A019

Choisir la ligne « CAUDAL GRUPO 1 BOSSOT » et cliquez sur l’icône Graphique (15jours)

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Pour avoir accès aux 5 stations d’alerte autonomes du Val d’Aran, il faut vous inscrire sur le site du
Conselh generau d’Aran. C’est gratuit et rapide.

Suivre ce lien :
http://conselh.smartyplanet.com/es/login

Renseigner le côté “Registra't com a nou usuari:” Choisir un nom d’utilisateur, saisir votre adresse eMail et à la fenêtre des pointillés un mot de passe
Vous recevrez immédiatement un mail pour activer le compte.
Une fois la page ouverte, cliquez sur le pavé “Idioma” en haut à droite pour choisir la langue.
Ensuite configurez votre page d’acceuil avec vos stations préférées, vos alertes etc.

Pour une présentation du système vous pouvez visionner ces vidéos sur Youtube:

https://www.youtube.com/watch?v=RwKs-3jSKmg
https://www.youtube.com/watch?v=VlZy1Cjv3XA
Ou visiter le site Smartyriver
http://www.smartyplanet.com/web/smartyplanet-smartyriver.php?idioma=fr

Si vous avez des difficultés n’hésitez pas à poser vos questions au collectif !

samedi 14 juin 2014

Grand jeu de la crue morphogène*

Jean-Christophe Pratte est heureux de vous proposer ce petit test de Mémory.
La règle en est simple.
Regarder attentivement la photo ci-dessous, prise en mars 2010 par Google Street-View. Reconnaissez-vous ce lieu ? C'est un champ bordant la route d'Espagne, 500 m après le rond-point de la Tour du Sériail de la douane de Fos. Ça y est ... ça vous revient ? Donc, regardez bien, essayez d'enregistrer mentalement le lieu ... Maintenant, cliquez sur l'image ... et vous serez transportés ... au mois de juin 2014, il y a cinq jours exactement. Magique !
Route d'Espagne à Fos - mars 2010 - Google Street-View
 
Impressionnant non ? Essaye encore...
* "morphogène", ce n'est pas un gros mot. Ça veut juste dire que ça peut modifier le paysage. Ben ! c'est gagné !

jeudi 2 janvier 2014

Le Petit Journal - 1er janvier 2014 - Fos : Le mécontentement s'exprime

Protestation active

Le Petit Journal | Comminges | Locale | Un comité d'accueil déterminé
(Un comité d'accueil déterminé)
Le jeudi 19 décembre, le sous-préfet, Bernard Bahut, avait convié les maires du canton de St Béat à une réunion de travail portant sur le curage du barrage EDF dit du Plan d'Arem. Cette réunion s'est tenue en la mairie de Fos. Mais à son arrivée, le sous-préfet a été confronté à un important groupe d'habitants de Fos regroupés autour d'un collectif local qui entendait bien faire valoir son mécontentement par rapport à la lenteur des travaux sur la Garonne. Les échanges, qui ont duré plusieurs minutes, ont été assez tendus à certains moments, mais au total aucun incident n'est à déplorer.
La colère des habitants de Fos, lourdement sinistrés, tient à ce qu'ils considèrent comme une attitude fuyante de la part des autorités, qui, à leurs yeux, font valoir des études en cours pour n'apporter aucune réponse définitive au problème de la sécurité des maisons.
Certes, ils ont pu constater une évolution puisque le sous-préfet a concédé que des « enrochements ciblés » seraient possibles, tout en répétant cette phrase qui irrite les habitants : « le fleuve doit vivre sa vie » (phrase rapportée par le sous-préfet). Ce qui signifie qu'il n'est pas question, pour les autorités, d'envisager un enrochement continu sur des kilomètres, mais seulement à des endroits critiques. Les délais n'ont pas été précisés.
De même, les habitants, armés de banderoles, voudraient que soit entrepris un curage du lit de la Garonne, et un enlèvement significatif de terre et matériaux en amont du village, de façon à éviter une éventuelle réplique de la crue. Ils sont inquiets car les travaux risquent d'intervenir trop tard, puisque le niveau de la Garonne remonte chaque année dès le début du printemps.
Ils ont été écoutés par le sous-préfet, mais ce dernier a bien expliqué qu'il était tributaire de décisions prises à d'autres niveaux, en fonction d'avis d'experts dont les habitants contestent par ailleurs la clairvoyance. A leurs yeux, seuls les résidents de longue date connaissent vraiment bien les particularités du site, qui ne sautent pas aux yeux à partir de photographies ou d'études cartographiques...
(Lire l'article sur le site du Petit Journal)

samedi 9 novembre 2013

La Dépêche du Midi - Inondations de juin : Carole Delga fait appel à Hollande et à l'armée

Inondations de juin : Carole Delga fait appel à Hollande et à l'armée
Inondations de juin : Carole Delga fait appel à Hollande et à l'armée
Carole Delga, la députée socialiste du Comminges, vient de saisir directement François Hollande dont elle a sollicité l’intervention pour la mise en œuvre de trois mesures d’aides en faveur des victimes des inondations du 18 juin dernier, a-t-on appris ce vendredi.
La parlementaire de Haute-Garonne a tout d’abord réclamé au chef de l’Etat l’intervention de l’armée pour participer au déblaiement des embâcles qui encombrent encore le lit de la rivière et jonchent les terres agricoles à proximité de la Garonne. Elle a ensuite proposé à François Hollande d’intervenir pour le déblocage d’un complément de subventions de l’Etat, et la mise à disposition de crédits à taux réduits pour les communes sinistrées.
(Retrouver cet article sur le site de LaDépêche.fr)

jeudi 7 novembre 2013

La Dépêche du Midi - Saint-Béat. Inondations : l'angoisse d'un nouveau cauchemar

Saint-Béat. Inondations: l'angoisse d'un nouveau cauchemar
Saint-Béat. Inondations: l'angoisse d'un nouveau cauchemar
Il aura suffi d’une alerte orange et de 48 heures de précipitations pour raviver le cauchemar du 18 juin 2013. L’angoisse permanente des habitants du canton de Saint-Béat se ravive à chaque menace de pluie. Le souvenir est intact, l’inquiétude perdure. Reportage.
Lundi, la préfecture de la Haute-Garonne appelait à la vigilance, annonçant que le département était placé en alerte orange et plus particulièrement le secteur sud du territoire. Sur le canton de Saint-Béat, à mesure des heures qui passaient, la Garonne a grossi sans atteindre des niveaux inquiétants. Si le temps s’est très nettement amélioré, habitants et élus sont cependant sur le qui-vive à la moindre alerte.
«Il y a une grande inquiétude dans le village, dès l’annonce d’une montée des eaux, alors que l’on vivait plutôt bien avant le traumatisme de juin» confie Jean Lafont, le maire de Fos. ...
(Lire la suite de l'article sur le site de LaDépêche.fr)