mercredi 30 octobre 2013

La Dépêche du Midi - Inondations dans le Comminges : le point sur les actions

L'enlèvement des embâcles sur la Garonne se poursuit./Photo DDM Jal
L'enlèvement des embâcles sur la Garonne se poursuit./Photo DDM Jal




Bernard Bahut, sous-préfet de l’arrondissement de Saint-Gaudens a présidé le comité de suivi instauré après les inondations du 18 juin 2013, qui se réunissait le 25 octobre pour la 7e fois depuis le 5 juillet 2013. De nombreux dossiers ont été abordés.
Infrastructures publiques. Les travaux sur la RN 125, rouverte depuis le mois de juillet, se poursuivent par la réfection de la couche de roulement, sous la maîtrise d’ouvrage de la Direction des routes du Sud-Ouest (DIRSO). Le montant des dépenses engagées par l’Etat pour ce chantier se chiffrera fin 2013 à 1,3 M€. Un accord est intervenu entre l’Etat et le Conseil général sur les modalités de déblaiement et de sécurisation de la RD 125 à Castelvielhl, ainsi que sur les conditions financières de réalisation d’une plage de dépôt permettant le rétablissement de la circulation à double sens, puis d’un passage d’écoulement des boues sous la route.
L’enlèvement des embâcles sur la Garonne entre Fos et Montréjeau a été programmé en 9 secteurs géographiques ; les travaux sont terminés dans 5 secteurs et ont déjà permis à ce jour l’enlèvement de 1100 tonnes de bois marchand et de 2000 tonnes de souches et branchages. 650 000 € seront dépensés en 2013 pour cette action. ...
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lundi 28 octobre 2013

La Dépêche du Midi - Fos. Désillusion pour le maire et son conseil

Jean Lafont (à g) et Jean Soulé, déçus mais déterminés à défendre les intérêts de la commune. /Photo DDM, C.T.
Jean Lafont (à g) et Jean Soulé, déçus mais déterminés à défendre
les intérêts de la commune. /Photo DDM, C.T.

Jeudi après-midi, Jean Lafont, maire de Fos, et son adjoint Jean Soulé avaient le sourire amer.
Deux gros points d’interrogations restent sans réponse pour ces élus qui ont perdu toute illusion depuis la venue du sous-préfet de Saint-Gaudens et les services de la DIR Sud-ouest et celle du Préfet de Région la semaine dernière. «On sait maintenant que la reconstruction du Pont Vieux ne sera pas prise en compte dans la première phase du programme des travaux indemnisés par l’état au titre des catastrophes naturelles et des biens non assurables», explique Jean Lafont qui souligne que si ce pont relève aujourd’hui du domaine de la voirie communautaire, la facture pèse bien trop lourd pour la collectivité (470 000 € de travaux HT.
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jeudi 17 octobre 2013

La Dépêche du Midi - Saint-Béat. Les sinistrés s'unissent en créant le collectif «Sortir de l'eau»

Conscients de ne pas pouvoir tout gérer, ils sont décidés cependant à faire bouger les choses./Photo DDM, C. T.
Conscients de ne pas pouvoir tout gérer, ils sont décidés
cependant à faire bouger les choses./Photo DDM, C. T.

Vendredi, le ras-le-bol d’une assemblée d’environ 200 personnes faisait écho dans la salle des fêtes de Saint-Béat. Depuis les inondations du 18 juin, le sentiment d’abandon subsiste chez les habitants et commerçants de la vallée pour qui le retour à une vie normale ressemble plus à une traversée du désert qu’à autre chose.
Face à l’inertie des services de l’Etat et des assurances qui font la «sourde oreille», l’idée de monter un collectif a été lancée. «Un collectif est un groupe de personnes qui suivent un objectif commun ; c’est le résultat d’une entente et d’une volonté de développer des solidarités. Le collectif regroupe des moyens humains, des énergies, des compétences dans le but d’être plus efficace dans les actions qu’il s’est fixées. Cette structure informelle a l’avantage de la vivacité, de la souplesse et d’être toujours en phase avec la réalité du moment ; elle dépend de la loi de 1901 sur les associations sans en avoir les contraintes, pas d’argent, pas d’adhésion. Le collectif, c’est «des empêcheurs de tourner en rond» ; un collectif est apolitique et n’a pas de main mise sur qui que ce soit» souligne Luce Lagacherie, l’une des premières à vouloir intégrer ce collectif qui s’articulera autour de trois axes prioritaires : l’environnement, le social et l’économie.
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